Présidentielle du 27 août au Gabon : la répression augmente avant un probable coup d’Etat électoral
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Collectif de solidarité avec les luttes sociales et politiques et Afrique, Paris, 31 juillet 2016
Depuis 1967, la famille Bongo et le Parti Démocratique Gabonais (PDG) dirigent le Gabon[1]. Accumulant les élections fraudées, ils l’empêchent de se démocratiser. Comme dans les autres dictatures africaines, une alternance grâce à un processus électoral au Gabon est improbable, malgré l’impopularité évidente du chef de l’Etat sortant et son électorat très réduit.